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Avril 2025 .VOL DE ROUTINE...
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Le 23 avril 1943

à 21h18, Lagune Bahiret El Bibane (Tunisie),

le capitaine Marcel Finance, le mécanicien Aubert, le radio Flamand et le pilote-instructeur le capitaine Raymond Roques décollent à bord d’un Blenheim V pour un vol de qualification.

13 aout 2025LE DERNIER ENVOL
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Le 13 août 1959,

le sergent

Jean THUAULT s’apprête à fêter

la « quille ».

Le soir même,

il doit être démobilisé

et se projette déjà

vers son avenir...

1er OCTOBRE 1974 : SERVIR JUSQU’AU BOUT

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À dix-neuf ans, Alain Billon s’engage en 1954 à l’École des sous-officiers de Saint-Maixent, où il suit six mois de formation avant d’être affecté au 6e Régiment de tirailleurs sénégalais au Maroc.

 

Animé par la passion du service, il demande à changer d’arme et rejoint l’Armée de l’air en 1957.

En 1960, il est déployé en Algérie dans le cadre du maintien de l’ordre. Affecté successivement au poste de commandement de l’air 27/540 puis au Groupement aérien tactique n°2, il se distingue au combat et est blessé le 18 mars 1961 lors d’une opération commando.

De retour d’Algérie en 1962, il poursuit sa carrière au Commissariat de l’Air à Versailles, puis à l’état-major du Commandement des transmissions en 1966. 

Travailleur acharné et sous-officier exemplaire, il réussit le concours d’officier technicien dans le corps des officiers des bases de l’air. Promu sous-lieutenant le 1er juin 1969, il rejoint la base aérienne 901 de Drachenbronn (Bas-Rhin), où il sert jusqu’en 1973.

Le 28 juin 1973, désormais lieutenant, Alain Billon est affecté à la base aérienne 172 de Fort-Lamy (qui deviendra N’Djamena quelques mois plus tard). Il y exerce les fonctions de chef de l’escadron base, d’officier des sports et de directeur du peloton.

Le 1er octobre 1974, alors qu’il encadre une marche d’instruction d’une vingtaine de kilomètres avec les élèves gradés, il s’effondre après une quinzaine de kilomètres. Transporté d’urgence à l’infirmerie, il ne reprend jamais connaissance. Il s’éteint le jour même, à 21h40.

Son nom mérite d’être rappelé, pour que son courage ne sombre jamais dans l’oubli.

Sa mémoire est honorée au Mémorial des Aviateurs, au musée de l’Air et de l’Espace du Bourget, aux côtés d’autres aviateurs tombés dans l’accomplissement de leur mission.

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